Comme l’an dernier, je viens vous suggérer d’investir dans la SCPI IMMOPLACEMENT qui me paraît particulièrement intéressante actuellement.
En effet, cette SCPI à capital fixe offre, actuellement, sur la base des derniers cours observés, un rendement supérieur à 6% par an, avant fiscalité.
S’agissant de revenus fonciers, ceux-ci sont imposés à la tranche marginale d’imposition majorée des prélèvements sociaux de 17,2%.
Pour les sociétés soumises à l’impôt sur les sociétés, l’impôt s’élève à 15% (jusqu’à 42.500 euros de résultat imposable) et 25% au-delà.
A noter que l’acquisition de ces parts peut se faire à crédit ; les taux immobiliers étant de l’ordre de 3% sur 10 à 15 ans, hors assurance.
Comme vous le verrez ci-dessous, les dividendes progressent régulièrement depuis plus de 10 ans, pour dépasser les 50 euros cette année :
Par ailleurs, la valeur de reconstitution est très nettement supérieure à la valeur d’acquisition actuelle (autour de 830 euros avec les frais de conseils facultatifs) :
Alors qu’avec la crise de l’immobilier professionnel depuis 2023, la valeur de reconstitution a baissé d’un peu plus de 3%, la valeur d’acquisition des parts est de l’ordre de 15% inférieure à la valeur de reconstitution alors que, logiquement, la valeur d’acquisition devrait se situer autour de la valeur de reconstitution.
Bien entendu, il n’y a aucune garantie en capital ni aucune garantie de revenu, mais, à ce niveau-là, l’investissement dans IMMOPLACEMENT semble une très bonne opportunité, dans une perspective d’investissement à long, voire très long terme, comme pour toute SCPI.
Deux raisons peuvent expliquer cet état de fait :
- IMMOPLACEMENT a absorbé, en 2023, une autre SCPI à capital fixe, gérée par ATLAND-VOISIN, la foncière REMUSAT et, durant les quelques mois où la fusion a été réalisée, il n’y a plus eu de possibilités d’échanges de parts sur le marché secondaire ; il y a donc, ponctuellement, plus de vendeurs que d’acheteurs actuellement ;
- La crise des SCPI de 2023 se fait encore largement sentir et, en 2024, il y a eu 3 fois moins de souscriptions qu’en 2022, avant la crise.